Le jeudi 3 octobre, dans la région de Bia, située au nord-ouest du pays. Il s’agit d’un adolescent de 15 ans dont l’état de santé est jugé stable.
La région de Bia a enregistré ce premier cas confirmé de Mpox pour l’année 2024, selon un communiqué des services de santé ghanéens publié le 3 octobre. Bien que l’état du patient ne soit pas critique, les autorités sanitaires ont renforcé la vigilance à travers tout le pays.
Le Ghana avait déjà été touché par la maladie en 2022, mais ce nouveau cas survient alors que 230 cas suspects sont actuellement en cours d’investigation. Cette résurgence du Mpox rappelle l’importance des efforts de surveillance sanitaire, notamment dans les zones rurales où les infrastructures de santé sont souvent moins développées.
Face à cette situation, les autorités sanitaires ghanéennes sont sur le qui-vive et intensifient les campagnes de sensibilisation et de prévention pour limiter la propagation du virus. En 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait rebaptisé la maladie "Mpox" pour lutter contre les stigmatisations raciales et les discriminations associées à son ancien nom. Cette maladie, déclarée urgence de santé publique d’importance internationale, continue de poser des défis aux systèmes de santé africains.
Le Ghana, qui a déjà fait preuve de résilience dans la gestion des crises sanitaires, espère maîtriser rapidement la situation en confirmant ou infirmant les 230 cas suspects actuellement en cours d’investigation.
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